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mise à jour le 20 janvier, 2006 Connaître saint Jacques. Comprendre Compostelle. survol du site Page précédente Accueil

Témoignage d'une pèlerine de 1955 à Saint-Jacques-de-Compostelle

Dans l'article consacré à ces parcelles d'éternité que sont les reliques, nous posions la question : croire ou pas aux reliques. Dans son livre Vers Saint-Jacques de Compostelle, Marie Mauron, apporte la réponse d'une intellectuelle, institutrice laïque formée au début du siècle. Nous l'offrons à votre méditation.



 

« Et le tombeau d'argent est vide. Mais justement ce qui l'habite, ce grand vide, c'est l'absolu que ces brasiers de foi et d'amour ont créé, comme Dieu créa de rien, de son amour, le monde. Si les os réels de saint Jacques étaient là, leur poussière auguste serait limitée et finie. Dans l'intemporel elle s'agrandit aux dimensions sans limite des coeurs qui, siècle après siècle, l'ont faite présence. »

 

Marie Mauron, Vers Saint-Jacques de Compostelle, Paris, 1957

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